Tell Mark Carney: Keep Your Promise, No Cuts to Lifesaving Aid
Prime Minister Mark Carney, Finance Minister François-Philippe Champagne
Mark Carney’s government will announce its first budget in early November, which is expected to include a 15% cut to foreign aid over three years, despite the prime minister’s campaign promise to protect aid and save lives.
Recent decisions by the U.S., UK, France, Germany and more to slash aid are already causing at least 88 deaths every hour. Canada can either throw gas on this devastating fire or show lifesaving leadership.
Canada has the opportunity to be a global leader, upholding our commitments and our values. But we must act now before it’s too late. Send an Email to the prime minister and Finance Minister Champagne telling them to do the right thing: don’t cut aid!
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Le gouvernement de Mark Carney annonce son premier budget au début du mois de novembre, qui devrait inclure une réduction de 15 % de l’aide internationale sur trois ans — malgré la promesse électorale du premier ministre de protéger l’aide et de sauver des vies.
Les récentes décisions des États-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l’Allemagne et d’autres pays de réduire l’aide étrangère entraînent déjà au moins 88 décès chaque heure. Le Canada peut soit jeter de l’huile sur ce feu dévastateur, soit faire preuve d’un leadership qui sauve des vies.
Le Canada a l’occasion de montrer la voie sur la scène mondiale, en respectant ses engagements et en défendant ses valeurs. Mais il faut agir maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Envoyez un courriel au premier ministre et au ministre des Finances, François-Philippe Champagne, pour leur dire de faire ce qui s’impose : ne coupez pas l’aide !
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To:
Prime Minister Mark Carney, Finance Minister François-Philippe Champagne
From:
[Your Name]
Dear Prime Minister Carney and Finance Minister Champagne,
I urge you to reverse the proposed 15% cut over three years to international development assistance and honour your campaign promise: no cuts to foreign aid.
At a time when humanitarian crises are multiplying, authoritarian regimes are rising, and preventable diseases continue to spread, Canada must not turn its back on the world’s most vulnerable. This is the moment to show leadership, not retreat.
Prime Minister, your statement in New York that “Canada’s leadership will no longer be defined by the strength of our values, but by the value of our strength” is a dangerous departure. Our true strength has always been the combination of values and force—not a choice between them.
For less than two cents per federal dollar, development assistance opens markets, stops epidemics at their source, and prevents conflicts that cost exponentially more to resolve militarily. Canada topped an April 2025 poll of most trusted nations—trust earned over decades by keeping our promises. That trust evaporates the moment we break it.
When President Trump slashed USAID this year, warehouses of food and medicine sat idle and maternity wards closed—mothers and babies dying for lack of basic care. The world took notice: America’s promises no longer meant anything. Canada cannot make the same mistake.
Immediately, these cuts will cost lives. Long-term, they will cost the trust and credibility that make Canada effective globally. Aid is the best investment we make in keeping Canadians safe, growing markets for Canadian industry, and promoting our values.
Hold the line. No cuts. Our values are the foundation of our strength.
To abandon them now would be to abandon what makes Canada Strong.
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Monsieur le Premier ministre Carney, Monsieur le ministre des Finances Champagne,
Je vous demande instamment de renoncer à la réduction de 15 % sur trois ans de l’aide publique au développement et de respecter votre engagement de campagne : aucune coupure dans l’aide internationale.
Alors que les crises humanitaires se multiplient, que les régimes autoritaires gagnent du terrain et que des maladies évitables continuent de faire des ravages, le Canada ne peut pas tourner le dos aux plus vulnérables.
C’est le moment de faire preuve de leadership, pas de se replier.
Monsieur le Premier ministre, votre déclaration à New York selon laquelle « le leadership du Canada ne se définira plus par la force de nos valeurs, mais par la valeur de notre force » marque une dangereuse rupture. Notre véritable force a toujours résidé dans l’alliance entre nos valeurs et notre puissance — jamais dans le choix de l’une au détriment de l’autre.
Pour moins de deux cents par dollar fédéral, l’aide internationale ouvre des marchés, endigue les épidémies à leur source et prévient les conflits — des crises qui coûtent des milliards à résoudre militairement.
En avril 2025, le Canada a été désigné pays le plus digne de confiance au monde — une confiance bâtie au fil des décennies, en tenant parole. Cette confiance s’évaporera le jour où nous la trahirons.
Lorsque le président Trump a réduit le financement de l’USAID cette année, des entrepôts pleins de nourriture et de médicaments sont restés inutilisés, des maternités ont dû fermer leurs portes et des mères et des bébés sont morts faute de soins essentiels. Le monde a vu : les promesses américaines ne valaient plus rien.
Le Canada ne peut pas commettre la même erreur.
Ces coupures coûteront des vies dès aujourd’hui. Et à long terme, elles coûteront la confiance et la crédibilité qui font la force du Canada sur la scène mondiale.
L’aide internationale est le meilleur investissement que nous puissions faire : pour protéger les Canadiens, développer des marchés pour nos entreprises et faire rayonner nos valeurs.
Tenez bon. Aucune coupure. Nos valeurs sont le fondement de notre force. Y renoncer aujourd’hui, ce serait renoncer à ce qui rend notre Canada Fort.